Les Commotions Cà rà brales Dans Le Sport : Une Épidà mie Silencieuse Association Quà bà coise Des Neuropsychologues Association Quà bà coise Des Neuropsychologues

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Les lignes directrices sur les commotions cérébrales formulent sept recommandations en ce qui concerne le protocole à suivre pour la prévention, l’identification et la prise en charge des commotions cérébrales liées au sport. Elles contiennent également les outils requis pour mettre les recommandations en œuvre. Vous trouverez ci-dessous un aperçu des lignes directrices sur les commotions cérébrales. La recherche et les données probantes sous-tendent la stratégie canadienne de gestion et de prévention des commotions cérébrales liées au sport.
Le présent rapport rend compte du travail effectué par le Sous-comité du 31 octobre 2018 au 15 mai 2019. Dans le cadre de 11 réunions, le Sous-comité a entendu 42 témoins, dont des athlètes et des membres de leur famille, des organisations sportives, des professionnels de la santé, des chercheurs, des experts en prévention des blessures et d’autres intervenants. Le projet vise le développement et la promotion de nouvelles technologies permettant d'optimiser la détection et la gestion des commotions cérébrales en milieu sportif. Règle générale, les symptômes liés à une commotion cérébrale se résorbent assez rapidement. En fait, www.Physiobalance.ca bon nombre d’études indiquent que, « habituellement », les symptômes disparaissent complètement dans les sept à dix jours qui suivent l’accident. Pour un certain nombre d’individus, des séquelles perturberont les fonctions du cerveau et, « par conséquent », interfèreront avec la réalisation d’activités quotidiennes.
Le Sous-comité a appris qu’elles ont été adoptées par plus de 40 organisations sportives nationales, de même que par un certain nombre d’organisations provinciales et d’écoles. Des commotions cérébrales peuvent se produire chez n’importe qui, à n’importe quel endroit et à n’importe quel moment à la suite d’accidents et de chutes. De nombreuses commotions cérébrales surviennent dans le cadre de sports récréatifs et organisés, et les sports de contact et les sports où les athlètes atteignent des vitesses élevées sont responsables de la vaste majorité de ces commotions cérébrales. Chaque commission scolaire adopte un protocole de retour au jeu et d'apprentissage qui s'applique aux élèves soupçonnés d'avoir subi une commotion cérébrale dans le cadre de leur participation à des activités sportives ou autres à l'école. Cette démonstration doit se faire à la satisfaction d’un médecin désigné par la Régie.
Toutefois, le Sous-comité a aussi entendu parler du travail important qui a été accompli par les organisations sportives au cours des dernières années et qui a entraîné des changements importants en matière de prévention et de gestion des commotions cérébrales. Lorsque l’on soupçonne qu’un athlète a subi une commotion cérébrale, ce dernier doit faire l’objet d’un examen médical complet effectué par un professionnel de la santé agréé. L’examen permet d’écarter la possibilité de toute blessure ou de tout problème médical grave et de faire le diagnostic d’une commotion cérébrale en se basant sur les antécédents cliniques, l’examen physique et l’usage de tests diagnostiques accessoires . Au Canada, les professionnels de la santé formés pour diagnostiquer des commotions cérébrales sont les infirmières praticiennes et les médecins qui se spécialisent dans la pédiatrie, la médecine familiale, la médecine du sport, la médecine interne, la réadaptation, la neurologie et la neurochirurgie. Dans les régions rurales et éloignées du Canada où l’accès aux médecins et aux infirmières praticiennes est restreint, voire inexistant, d’autres professionnels de la santé agréés, comme les infirmières, peuvent jouer ce rôle en communication avec une infirmière praticienne ou un médecin.
En effet, en 2013, Hockey Canada a mis en œuvre une nouvelle règle interdisant les mises en échec dans la catégorie peewee et dans les catégories plus jeunes. En raison de ce changement, le risque de commotion cérébrale a diminué de 70 %, ce qui se traduit par environ commotions cérébrales de moins dans tout le Canada. En ce qui concerne le volleyball, la DreSchneider a expliqué que, selon les recherches, 15 % des commotions cérébrales surviennent pendant la période de réchauffement, quand les joueurs courent sous le filet pour suivre le ballon qu’ils viennent de frapper.